« Unis pour gémir. »
Ce dimanche sur son site, l'Olympique lyonnais demande aux instances de « faire marche arrière » afin d'« éviter au championnat de France une immense déroute ». Le club rhodanien n'a toujours pas digéré la décision de la LFP du 30 avril, lorsque celle-ci « a brusquement décidé d’arrêter définitivement le championnat professionnel français, sans prendre en compte toutes les recommandations de l’UEFA, ni se donner le temps d’observer ce que nos dizaines de voisins prévoyaient. »
Après avoir rappelé ses différentes positions depuis le début de la crise, pensant que « la meilleure solution consisterait à terminer le championnat », le club de Jean-Michel Aulas espère pouvoir faire changer les choses d'ici le 25 mai. L'objectif ? Trouver les solutions pour « garantir que tous les clubs français pourront finir l'année sans faire faillite », « lutter avec [ses] concurrents étrangers » et « éviter que l'écart se creuse encore entre le football français et tous les autres grands pays d'Europe ». Par ailleurs, le président de l'OL a signé samedi la pétition lancée par Amiens (comptant 16 000 signatures), réclamant une Ligue 1 à 22 clubs la saison prochaine.
Les insurgés ont trouvé un chef.
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