terça-feira, 6 de dezembro de 2016

PSG - Ludogorets : les notes du match



Après ce match nul 2-2 décevant sur la pelouse du Parc face à Ludogorets, le PSG termine à la deuxième place de son groupe.


Le PSG accueillait Ludogorets pour cette dernière rencontre de la phase de poules de la Ligue des Champions. La victoire était impérative pour les troupes d’Unai Emery, sous peine de risquer de se faire passer devant par Arsenal. L’entraîneur basque a décidé d’opter pour un 4-2-3-1 avec Motta et Matuidi dans le double-pivot, pendant que Ben Arfa était bien présent derrière l’attaquant. Lucas s’offrait la première opportunité de la partie, mais Stoyanov s’interposait bien. Derrière, Cavani tentait de l’expédier au fond, et le portier bulgare était encore décisif (7e). Sur le corner, Thiago Silva manquait le cadre de peu de la tête (8e).
Les Parisiens, via un Lucas hyperactif côté gauche, tentaient de rapidement prendre l’avantage, mais ce sont bien les Bulgares qui ont fait la différence en premier. Natanael centrait pour Misidjan, qui, seul dans la surface, reprenait de la tête et l’expédiait au fond (0-1, 15e). Le PSG réagissait bien, et Motta, d’une talonnade dans la surface, voyait la balle frôler le poteau droit du gardien adverse. Les occasions commençaient à s’enchaîner. Lucas laissait en retrait pour Di Maria, qui, gêné par un défenseur, ne cadrait pas (28e). Ludogorets avait cependant une nouvelle opportunité en or, et seul au deuxième poteau, Marcelinho loupait une superbe occasion (30e) ! Thiago Silva, toujours aussi dangereux sur coup de pied arrêté, inquiétait encore de la tête, sans succès (31e). Dans la foulée, il écrasait un ballon sur le poteau (34e) !

Di Maria, catastrophique dans le jeu mais décisif

Au retour des vestiaires, les Parisiens tentaient de revenir dans la partie, sans succès, se heurtant à la bonne organisation défensive des Bulgares. Di Maria tentait donc sa chance de loin, mais Stoyanov captait sa tentative sans soucis (56e), alors que des sifflets commençaient à se faire entendre dans les travées du Parc. L’égalisation n’allait cependant pas tarder à tomber. Motta récupérait un ballon aux abords de la surface et décalait pour Di Maria. Le joueur de l’Albiceleste centrait, et Cavani, anticipant un mauvais dégagement de Cicinho, l’expédiait au fond d’un superbe retourné acrobatique (1-1, 61e).
La joie parisienne allait être de courte durée. Sur le côté droit de la défense, Marquinhos perdait le ballon, Cafu en profitait, servait Wanderson qui crucifiait Areola (1-2, 69e). Thiago Silva continuait d’être malheureux sur coup de pied arrêté et touchait cette fois la barre. Le PSG a finalement pu égaliser, via Angel Di Maria, servi dans la surface par Kurzawa et termine donc à la deuxième place de ce groupe A, Arsenal n’ayant eu aucune difficulté à venir à bout du FC Bâle (4-1).
L’homme du match : Moti (7) : solide dans les airs, il a fait preuve de beaucoup de concentration pour tenter d’annihiler les offensives des attaquants parisiens, à l’image de cette superbe intervention sur une frappe de Lucas (19e). Il a aimanté la plupart des centres du Brésilien. Il a tenu la baraque jusqu’au bout. C’est mains dans le dos et du front qu’il contre majestueusement la frappe de Ben Arfa (78e). L’élégance à la roumaine.
Paris Saint-Germain
- Areola (4) : difficile de le noter ce soir. Le portier francilien n’a rien à se reprocher sur le premier but de la partie, et s’il n’a pas non plus de quoi être pointé du doigt comme responsable sur le deuxième compte tenu de l’erreur de Marquinhos, il fait une faute de main assez flagrante. Outre ces deux actions, il n’a quasiment jamais été sollicité, mais les quelques critiques formulées à son égard récemment ne risquent pas de s’arrêter après ce match.
- Meunier (4) : on a connu un Meunier bien plus inspiré cette saison. Sur l’ouverture du score, il laisse Natanael centrer tranquillement, sans même faire de pressing sur le joueur de Ludogorets. Offensivement, il a été assez peu en vue par rapport à ce qu’il montre d’habitude ou même à ce qu’on a l’habitude de voir avec Serge Aurier. Et même lorsqu’il est monté apporter du danger et a touché des ballons dans les derniers mètres, ses centres étaient pratiquement tous ratés. Aurier a pris sa place à la 88e, mais n’a pas eu le temps de montrer quoi que ce soit.
- Marquinhos (3) : le deuxième but de Ludogorets est clairement pour sa pomme, puisqu’en plus de perdre le ballon plutôt bêtement, il ne parvient pas à se rattraper et se fait promener par Cafu. C’est bien dommage, puisque jusqu’ici, il réalisait une prestation tout à fait honorable. Une seule erreur certes, mais elle coûte la première place du groupe à son équipe.
- Thiago Silva (5) : le Brésilien a rendu une copie correcte, avec comme principal point noir son marquage sur le premier but du soir, où lui et Maxwell oublient complètement Misidjan dans la surface. Il a en revanche beaucoup apporté sur coup de pied arrêté, et on ne compte pas le nombre de corners où il s’est envolé pour reprendre le ballon de la tête, au final sans succès. Il a touché les montants à deux reprises tout de même.
- Maxwell (4) : il partage la faute avec son coéquipier de la charnière centrale sur l’ouverture du score, puisqu’il laisse inexplicablement l’attaquant rival seul. Rien d’autre à signaler puisqu’on ne l’a que trop peu vu dans la rencontre en attaque et a finalement eu assez peu de travail défensif à réaliser. Layvin Kurzawa a pris sa place à la 79e minute et a créé plus de danger que le Brésilien en seulement dix minutes, délivrant la passe décisive pour Di Maria en toute fin de rencontre.
- Thiago Motta (5) : rencontre assez mitigée. L’Italien, de retour après son absence ce week-end, a plus ou moins apporté dans la construction, étant assez discret mais efficace. Cependant, on l’a souvent vu totalement nonchalant sur les séquences défensives, et sur le deuxième but de Ludogorets, il ne fait même pas l’effort de revenir prêter main forte à Marquinhos puisqu’on le voit revenir en marchant. Il n’a pas exercé son rôle de leader et ses partenaires l’ont senti.
- Matuidi (6) : prestation correcte . Il a exercé un pressing incessant - qui lui a permis d’être décisif sur le but de l’égalisation - alors que ses coéquipiers ne semblaient pas tous disposés à courir autant. On regrette peut-être qu’il n’ait pas tenté de se projeter plus souvent vers l’avant, lui qui est généralement assez à l’aise dans cet exercice. Pas grand chose à se reprocher aujourd’hui en somme, même s’il aurait clairement pu mieux faire.
- Di Maria (4) : un bon centre - dévié - sur le but de Cavani et le but de l’égalisation. L’Argentin a réalisé une rencontre pour le moins fantomatique, comme c’est souvent le cas dans les gros matchs depuis son arrivée à Paris, mais il a été impliqué sur les deux buts parisiens. Dès lors, compliqué de lui accorder une mauvaise note, mais le moins que l’on puisse dire c’est que les sifflets du Parc à son encontre étaient pour le moins mérités...
- Ben Arfa (4,5) : quand il s’agissait d’amuser la galerie avec des passements de jambe dans le vent, pas de soucis, il était là. En revanche pour lâcher son ballon au bon moment et ne pas ralentir le jeu, c’était plus compliqué. Mais il a au moins le mérite de vouloir prendre le jeu à son compte, avant de disparaître peu à peu au fur et à mesure qu’on avançait dans la seconde période. Pour l’instant, l’ancien Niçois ne donne toujours pas raisons à ceux qui critiquaient Emery lorsque ce dernier décidait de se passer de lui dans les compositions de départ.
- Lucas (5) : comme à son habitude, il a été très volontaire sur son côté gauche. Le Brésilien a beaucoup tenté, mais n’a tout simplement rien réussi. Il a ainsi perdu la quasi-intégralité de ses un-contre-un, a raté la majorité de ses centres et lorsqu’il parvenait à combiner avec ses coéquipiers, le dernier geste était toujours manqué. Même ses corners étaient mal frappés, c’est dire. Sorti en lieu et place de Jesé (84e), qui n’a pas eu la possibilité de se montrer.
- Cavani (6) : peu en vue en première période si ce n’est sur quelques situations qui auraient pu être mieux exploitées, il a fait ce qu’on attendait de lui, à savoir faire la différence lorsque son équipe était en difficulté. Il égalise ainsi d’un superbe retourné acrobatique, anticipant une erreur de Cicinho. La grande classe avec un but que très peu d’attaquants sont capables de marquer. On notera aussi qu’il reprend l’avantage dans son concours de hors-jeu à distance avec Bafe Gomis ce soir.
Ludogorets
- Stoyanov (6) : il s’illustre d’entrée de match avec une double intervention décisive, d’abord sur une frappe lointaine de Lucas (8e), puis sur Cavani qui suit bien l’action. Une première mi-temps au final très tranquille, les Parisiens s’évertuant à ne pas cadrer. Attentif sur une frappe sans conviction de Di Maria (56e). En revanche, il devra travailler son jeu au pied à l’entraînement. Et tant pis pour les ramasseurs de balle. Ne peut rien faire sur l’égalisation de Cavani. Il a beau s’étendre, il ne peut rien sur la réalisation de Di Maria (92e).
- Cicinho (3) : il a voulu montrer dès les premières secondes qu’il était présent en écrasant la cheville de Lucas (1e). Une faute à l’image de son match. Brouillon, souvent en retard sur l’ailier parisien, il a vécu une soirée compliquée. Averti après une énième faute (26e). Sa relance ratée profitant à Di Maria est de toute laideur (29e). Et que dire de son faux dégagement de la tête sur le but de Cavani (61e). Assurément le maillon faible de son équipe.
- Moti (7) : voir ci-dessus.
- Plastun (6,5) : à l’instar de son partenaire de l’axe, il a montré une belle solidité, quitte à parfois défendre à l’emporte-pièce et ressembler à une marionnette désarticulée. En première période, il a remporté la moitié de ses duels. Une deuxième période du même acabit, tout en sobriété et anticipation. Un match propre de la part du colosse ukrainien.
- Natanael (6,5) : buteur à l’aller sur un coup-franc plein de malice, c’est lui qui délivre cette merveille de centre pour la tête de Misidjan pour l’ouverture du score (16e). Son pied gauche et sa capacité à se projeter ont causé pas mal de dégâts. Souvent bien placé défensivement, il a rarement été pris à défaut. Sa mauvaise relance sur le but de Cavani vient toutefois entacher légèrement sa prestation. Rien de trop grave finalement, l’Europe continue pour lui et son équipe.
- Dyakov (5,5) : il a tenu son rôle de capitaine à merveille, et s’est appliqué à orienter le jeu des siens avec une certaine réussite. Sobre, efficace, sans fioritures, il a été à la hauteur du rendez-vous. L’un des vétérans de la formation bulgare a fourni une prestation solide, pleine d’engagement et de bonnes intentions. La force de l’expérience.
- Anicet (6) : un blase à rendre jaloux les Marseillais. Ce qui ne lui a pas forcément porté chance, tant il a été invisible. Très précis en première période, en attestent ses dix-neuf passes réussies sur vingt tentées. Plutôt pas mal quand on a seulement touché 24 ballons. Par la suite, il s’est dépensé sans compter, multiplient les retours défensifs inespérés. Une vraie mobylette pour une prestation convaincante de la part du Malgache.
- Marcelinho (5,5) : il lui manque trois centimètres pour propulser le ballon au font de la cage parisienne pour doubler la mise (31e). Il est parvenu à jouer juste dans les intervalles, et a souvent essayé de faire la différence. Avec plus ou moins de réussite. Il n’a jamais rechigné à fournir d’importants efforts défensifs lorsque cela s’avérait nécessaire. Il cède sa place à Campanharo (86e).
- Wanderson (6,5) : celui qui porte le numéro 88 a un pied gauche soyeux qu’il n’utilise toutefois pas toujours à bon escient. Son imitation du phoque avec de recevoir la semelle de Maxwell en pleine tête était brillante (38e). Un mètre et soixante-sept centimètres, soixante-et-un kilos, son petit gabarit lui a permis de se cacher pour mieux surgir. Malin. A l’image de son but sorti venu alors que l’on ne l’attendait pas (69e). Cède sa place à Keseru (95e). Pour se rappeler aux bons souvenirs de la Ligue 1.
- Cafu (5,5) : une technique sûre, des appels tranchants, sûrement le plus talentueux de la colonie brésilienne de Ludogorets. Mais ce soir, il a décidé de se mettre sur courant alternatif. Suffisant pour causer des problèmes à la charnière centrale du PSG. Une deuxième période plus compliquée, durant laquelle il a davantage couru dans le vide, se trouvant plus souvent isolé. Il retrouve un second souffle pour offrir un ballon parfait à Wanderson (69e).
- Vura Misidjan (6) : très discret en début de match, il a surgi de nulle part pour reprendre le centre parfait de Natanael et battre Areola sans aucune opposition (16e). Facile. Plutôt à l’aise dans face-à-face, il est parvenu avec un talent certain à mettre en difficulté Maxwell. Davantage dans le dur après l’heure de jeu. Remplacé par Lukoki(72e), entré pour solidifier le milieu de terrain bulgare.

Após acidente com a Chapecoense, diretor da LaMia é preso na Bolívia




La Paz, 6 dez 2016 (AFP) - O gerente geral da companhia aérea Lamia, Gustavo Vargas, cuja aeronave caiu na Colômbia matando 71 pessoas, entre as quais a delegação da Chapecoense e vários jornalistas brasileiros, foi preso nesta terça-feira junto com outros dois funcionários da empresa, informou o Ministério Público.

Vargas foi transferido aos escritórios do Ministério Público Departamental (estadual) de Santa Cruz (leste), onde fica a sede da empresa. O promotor Iván Quintanilla, membro da comissão que investiga a Lamia, já tinha antecipado mais cedo que emitiu ordem de prisão contra os envolvidos no caso.

"Com fins investigativos, foram presos (além de Vargas) a secretária e o mecânico da empresa; se há elementos e indícios que podem ser relacionados dentro do presente caso, o Ministério Público aplicará o Código Penal, se não, será ordenada a cessação da detenção", explicou Quintanilla à imprensa, detalhou o jornal Los Tiempos em seu site.

Nesta terça-feira, a Direção Geral de Aeronáutica Civil (DGAC) retirou documentos dos escritórios da Lamia, que estão sob intervenção das autoridades, segundo informes da imprensa.

A Lamia é investigada por suposta responsabilidade no acidente do avião que caiu em Medellín com 77 pessoas a bordo e deixou 71 mortos e seis sobreviventes.

O próprio Vargas tinha admitido dias antes ao jornal Página Siete que a aeronave, um BA-146 modelo RJ85, deveria ter sido reabastecida na cidade boliviana de Cobija, no extremo norte do país, para prosseguir viagem até a Colômbia.

A Bolívia encontrou indícios de irregularidades no funcionamento e nas operações da Lamia, segundo o ministro de Obras Públicas e Serviços, Milton Claros. Como primeira medida destituiu altos funcionários aeronáuticos.

Uma das principais hipóteses é que a aeronave caiu porque ficou sem combustível pouco antes de chegar ao aeroporto de Rionegro, que atende a Medellín, destino do voo. A funcionária que aprovou o plano de voo, apesar de supostamente ter observado problemas na quantidade de combustível, pediu refúgio no Brasil.

uol

El Bayern aparta al Atlético de los elegidos



Un golazo de falta de Lewandowski acabó con la condición de invicto del equipo colchonero

Oblak evitó que la primera derrota rojiblanca fuera más dolorosa


El Atlético no pudo concluir la fase de grupos con un pleno de victorias. Un golazo de Lewandowski, sacando las telarañas de la portería de Oblak con un lanzamiento de falta impecable, acabó con la trayectoria inmaculada del conjunto colchonero, que accede de todas formas a los octavos de final como primero de grupo.

Todo estaba decidido antes del inicio de esta jornada 6 de la Champions League. De ahí que tanto Carlo Ancelotti como Diego Pablo Simeone reservaran futbolistas. Müller, Lahm y Ribéry lo hicieron por el Bayern, mientras que en el Atlético prescindía Juanfran, Filipe Luis, Gameiro y Tiago.
Lo único que estaba en juego era la honrilla. La bávara, de sacarse la espina de la derrota en la primera vuelta. La madrileña, de entrar en ese grupo de elegidos que conforman Milan (temporada 92-93), PSG (94-95), Sparta de Moscú (95-96), Barça (2002-2003) y Real Madrid (2011-2012 y 2014-2015) como los únicos cinco equipos que han concluído una fase de grupos sin ceder un solo punto.
El gato al agua se lo llevó el cuadro alemán. Jugando ante su público, el Bayern dio un paso adelante desde el minuto uno ante un Atlético que parece haber entrado en una espiral de desidia inédita en la 'era Siemone'.
El técnico argentino ya hizo una declaración de intenciones apostando por Correa como segundo punta. Un mensaje poco ambicioso que caló en sus futbolistas. Así, Neuer quedó casi inédito, mientras que Oblak tuvo más trabajo del habitual.
El meta colchonero se lució ante Douglas Costa antes de que Lewandowski se sacara de la chistera el lanzamiento de falta que acabó decidiendo el encuentro.
En la segunda parte, Douglas Costa y Bernat volvieron a poner a prueba los reflejos de un Oblak que respiró cuando Thiago falló lo imposible en los últimos compases.
El ex del Barça se encontró con un balón suelto en el área pequeña y con toda la portería a su favor, pero acabó disparando incomprensiblemente a las nubes.
El error de Thiago mantuvo al Atlético con opciones hasta el final, pero los colchoneros fueron una sombra de equipo que solo tuvo un amago de destello con la entrada al terreno de juego de Gameiro.
Fue un espejismo que se diluyó de inmediato. La cara de Koke cuando Simeone decidió sustituirle fue todo un poema. Un síntoma de que las cosas empiezan a deteriorarse en el vestuario rojiblanco.
FICHA TÉCNICA
Bayern
1-0
Atlético

Bayern

Neuer, Rafinha, Hummels, Alaba, Bernat, Thiago, Renato Sánchez, Arturo Vidal, Robben (Kimmich, 83'), Lewandowski (Müller, 80') y Douglas Costa (Javi Martínez, 87')

Atlético

Oblak, Vrsaljko, Savic, Godín, Lucas, Saúl, Koke (Thomas, 68'), Gabi, Gaitán (Correa, 60'), Carrasco (Gameiro, 60') y Griezmann

Gol

1-0 M.28 Lewandowski

Árbitro

Clément Turpin (francés). TA: Gabi (62')

Incidencias

Partido correspondiente a la jornada 6 del grupo D de la Champions League disputado en el Allianz Arena ante unos 70.000 espectadores

LC: Benfica-Nápoles, 1-2 (crónica)



Como se diz obrigado em ucraniano?


O Benfica voltou a perder com o Nápoles, mas o Benfica de Rui Vitória fez história esta noite no Estádio da Luz ao garantir, pelo segundo ano consecutivo, a presença entre as melhores dezasseis equipas da Liga dos Campeões. Em semana de dérbi, o campeão português consentiu a segunda derrota consecutiva esta época, mas segue em frente na prova milionária, mais uma vez no segundo lugar do grupo, graças ao «suicídio» do Besiktas em Kiev. Os turcos foram cilindrados pelo Dínamo e serenaram cedo as bancadas da Luz. No relvado, os italianos, a única equipa a bater o Benfica nesta fase de grupos, foram melhores, porque conseguiram criar mais desequlíbrios, sobretudo depois da entrada de Mertens, mas também mais eficazes.

Os dois emblemas entraram em campo com os mesmos oito pontos, mais um do que o Besiktas, para um jogo que se antevia tenso, mas que se foi descomprimindo com as notícias dos golos que chegavam de Kiev. Os ucranianos marcaram o primeiro aos 9 minutos, depois mais três nos últimos quinze da primeira parte, deixando praticamente arrumada a questão das duas vagas, numa altura em que portugueses e italianos travavam um duro braço de ferro na Luz.
Duas equipas com a mesma propensão ofensiva, dois rolos compressores que se juntavam no meio-campo e que a espaços iam conseguindo, quer de um lado quer do outro, abrir brechas nas barricadas contrárias. Entrou melhor o Nápoles, pelo menos com mais posse de bola, com uma pressão alta a colocar dificuldades à equipa de Rui Vitória. Um ascendente que se desfez num ápice, com o Benfica a responder na mesma moeda, a subir em bloco e a empurrar o adversário para junto a área de Pepe Reina.
Rui Vitória manteve a estrutura dos últimos jogos, mas lançou Jiménez para o lugar de Mitroglou. O mexicano estacionou perto da zona de finalização, com o apoio de Gonçalo Guedes, este último com total liberdade de movimentos. Ainda estávamos neste jogo do empurra, quando a Luz se levantou para aplaudir o primeiro golo do Dínamo Kiev. Logo a seguir o Nápoles criou a primeira oportunidade, com um remate seco de Hamsik a obrigar Ederson a defesa incompleta. Gabbiadini ainda cabeceou para as redes, mas estava em posição irregular. Resposta imediata do Benfica, com Jiménez a cortar um alívio da defesa italiana e a bola a sobrar para Guedes que, surpreendido, atirou à figura de Reina.
Terminado o período de apresentações, o jogo estava agora mais aberto. O Nápoles conseguia libertar Callejón e Isigne sobre as alas, mas o Benfica respondia com Gonçalo Guedes e Jiménez [faltava Salvio para uma frente mais alargada]. Num rápido contra-ataque o mexicano atirou na passada contra Reina mas, sem tempo para respirar, Insigne já corria no corredor para lançar Callejón que tentou solicitar Gabbiadini. Valeu ao Benfica um corte precioso de Nélson Semedo. Jogo rápido no relvado, tensão nas duas balizas, mas descompressão total nas bancadas. O Dínamo já vencia, nesta altura, por 3-0 e o Besiktas estava reduzido a dez.
Agora estava em causa apenas o primeiro lugar do grupo e, até ao intervalo, mais duas oportunidades claras para os italianos, primeiro com um remate de Callejón que obrigou Ederson a esticar-se, depois Gabbiadini a deixar Luisão nas covas e a obrigar a nova grande intervenção do guarda-redes brasileiro, uma das figuras do jogo desta noite.
Mertens entrou e desequilibrou
No início da segunda parte mantiveram-se as mesmas dinâmicas, com os italianos a voltarem a entrar mais fortes, mas com o Benfica a equilibrar rapidamente a contenda. O jogo continuava, assim, aberto, com oportunidades para os dois lados, com destaque para um passe de colher de Pizzi que Rafa, que tinha rendido Gonçalo Guedes, não conseguiu aproveitar. Na resposta, golo do Nápoles. Na sequência de um livre, Mertens, que tinha acabado de entrar, desvia de calcanhar e Callejón saiu disparado. A defesa do Benfica ficou a pedir fora de jogo e o espanhol, diante de Ederson, marcou como quis. Um golo que mudava o resultado na Luz, mas que tinha pouca influência sobre a classificação, uma vez que o Besiktas nesta altura já estava mais do que morto a perder por 0-5 em Kiev e a jogar com nove.
A verdade é que o golo deixou o Nápoles numa posição ainda mais confortável, a procurar explorar os erros que o Benfica estava obrigado a cometer na procura do empate. Cada vez que o Benfica subia, os italianos criavam uma oportunidade, com Mertens a entrar muito bem na dinâmica dos italianos. Hamsik também crescia com passes teleguiados a abrir autoestradas para as investidas de Callejón e, sobretudo Insigne. O Benfica ainda ameaçou o empate num livre de Pizzi, mas os italianos estavam definitivamente por cima do jogo e chegaram ao segndo golo num lance individual de Mertens que ultrapassou Luisão em drible e bateu Ederson com um remate colocado junto ao poste.
Rui Vitória, que também já tinha lançado Carrillo, jogava logo de seguida a última cartada, juntando Mitroglou a Jiménez [Salvio foi o último a sair, apesar de ter estado menos produtivo do que Guedes e Cervi]. O Nápoles ainda ameaçou o terceiro golo na Luz, outra vez com Mertens em destaque, mas, a quatro minutos do final, Jiménez, com uma fé inabalável, arrancou em corrida e fez tremer Albiol que se atrapalhou e permitiu que o mexicano reduzisse a diferença. A Luz festejou o golo como se valesse a vitória. Não valeu, mas a verdade é que o Benfica,  neste capítulo, segue em frente. Agora é a altura de mudar o chip. Vem aí o Sporting.

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Hattrick: Arda schießt Gladbach im Alleingang ab



Borussia Mönchengladbach wollte sich nach sieben sieglosen Spielen in der Liga beim letzten Champions-League-Auftritt der Saison etwas Selbstvertrauen für den nationalen Wettbewerb holen. Doch stattdessen erlebten die Fohlen eine Lehrstunde und gingen beim FC Barcelona mit 0:4 baden. Die Katalanen spielten über die komplette Spielzeit Katz und Maus mit dem Bundesligisten und gewannen auch in der Höhe verdient. Für Barça geht es im neuen Kalenderjahr im Achtelfinale weiter, Gladbach kommt in die Europa League.
Gladbach
Für die Borussia war im Camp Nou nichts zu holen.
© picture allianceZoomansicht
Barcelonas Trainer Luis Enrique schenkte in diesem finalen Gruppenspiel der zweiten Garde Spielpraxis. Im Vergleich zum 1:1 gegen Real Madrid nahm er acht Wechsel vor - unter anderem wurde auch Keeper ter Stegen geschont. Einzig Messi, André Gomes und Mascherano blieben in der Startelf.
Borussia-Coach André Schubert wechselte nach der 1:4-Niederlage beim BVB auf vier Positionen: Stindl (Gelb-Rot-Sperre), Raffael, Kramer und Wendt (alle Bank) mussten weichen, dafür durften Jantschke, Schulz, Vestergaard und Hahn von Beginn an ran.

Fohlen komplett überfordert

Von Beginn an sahen die 67.157 Zuschauer im Camp Nou ein Spiel in eine Richtung. Barcelona übernahm ab der ersten Minute die Kontrolle und zwang Gladbach tief in die eigene Hälfte. Der Bundesligist igelte sich direkt hinten ein - vor einer Fünferkette positionierte sich eine Viererkette, nur Hahn lauerte vorne -, aber Barça fand trotz der wenigen Räume stets eine Lösung und zog das gewohnt sichere Kurzpassspiel auf. Die Fohlen kamen damit überhaupt nicht zurecht, agierten immer einen Schritt zu langsam und vor allem viel zu körperlos. Die Folge: Messi und Co. konnten sich nahezu ungehindert bewegen.

Messi mit Treffer Nummer zehn

Messi machte bereits in Minute zwei mit einem Kopfball auf sich aufmerksam, die einzige Offensivaktion der Gäste hatte Hahn, der 26-Jährige wurde aber wegen einer Abseitsposition zurückgepfiffen - wohl eher eine Fehlentscheidung (3.). Die Katalanen brannten ein wahres Passfestival ab (739 zu 257 angekommene Zuspiele) und gingen letztlich durch eine tolle Kombination zwischen Turan und Messi in Führung - das zehnte Saisontor des Argentiniers (16.). Um ein Haar hätte der Ausnahmestürmer eine Minute später nachgelegt, aber Sommer rettete sehenswert (17.).
Die Hausherren taten sich gegen überforderte Gladbacher weiterhin sehr leicht, schalteten in der Folge aber ein bis zwei Gänge zurück und ließen den Ball in den eigenen Reihen wandern. Einzig Iniesta (25.), Turan (27.) und Messi (43.) kamen noch zu Abschlüssen, ließen aber die Präzision vermissen.

Gladbachs Engagement brutal bestraft

Nach der Pause wirkte Gladbach aktiver und holte die ersten beiden Eckbälle heraus. Doch die Enrique-Elf machte den Offensivbemühungen der Gäste eindrucksvoll einen Strich durch die Rechnung: Arda Turan wurde von Denis Suarez bedient und vollendete per Kopf zum 2:0 (50.). Nur drei Minuten später wurde es dann deutlich, als der Türke mit einem Rechtsschuss aus elf Metern seinen zweiten Treffer erzielte (53.).
Arda Turan
Hattrick: Arda Turan erzielt sein drittes Tor.
© Getty Images
Die Schubert-Elf versuchte phasenweise, für Entlastung zu sorgen, scheiterte aber ein ums andere Mal bereits im Spielaufbau an den effektiv pressenden Katalanen. In Minute 65 fand Hazard die Lücke und schickte Hahn in die Spitze, der aber im Strafraum von Mascherano zu Fall gebracht wurde - eine diskutable Entscheidung (65.). Zwei Minuten später durfte wieder Barcelona jubeln, als Arda Turan einen lupenreinen Hattrick schnürte (67.).

Barcelona schont sich - Johnson verpasst

In der Folge nahm Barça komplett das Tempo heraus, setzte aber weiterhin Nadelstiche (Messi, 73.). Stattdessen bekamen die Gäste die Chance auf den Ehrentreffer, aber die Co-produktion der eingewechselten Raffael und Johnson blieb erfolglos (81.). Letztlich blieb es bei einem hochverdienten 4:0-Erfolg für den FC Barcelona, bei dem es Superstar Messi verpasste, den Rekord von Rivale Cristiano Ronaldo mit elf Vorrunden-Treffern einzustellen.
In der Liga spielt der FC Barcelona am Samstag (13 Uhr) bei CA Osasuna, Mönchengladbach empfängt am Sonntag (15.30 Uhr) den FSV Mainz 05. Die Auslosung für das Champions-League Achtelfinale findet am 12. Dezember um 12 Uhr statt, die nächste Europa-League-Runde wird eine Stunde später (beide Auslosungen LIVE! bei kicker.de) bestimmt.

Aufstellungen, Einwechslungen & Reservebänke

FC Barcelona
Aufstellung: 
Cillessen - 
Vidal , 
Umtiti , 
Digne - 
Iniesta         - 
Messi     , 
Arda Turan                

Einwechslungen: 
61. Rafinha für Iniesta
74. Cardona für Arda Turan

Trainer: 
Luis Enrique
Bor. Mönchengladbach
Aufstellung: 
Sommer - 
Jantschke     , 
Elvedi - 
Strobl , 
Dahoud         - 
Korb , 
N. Schulz     - 
Hahn , 
Hazard    

Einwechslungen: 
59. Kramer für Dahoud
59. F. Johnson für N. Schulz
72. Raffael für Hazard

Reservebank: 
Sippel (Tor)
,
Wendt
,
Hofmann
,
Sow

Trainer: 
Schubert


Tore & Karten

 
Torschützen
1:0
Messi (16., Linksschuss, Arda Turan)
2:0
Arda Turan (50., Kopfball, Denis Suarez)
3:0
Arda Turan (53., Rechtsschuss, Vidal)
4:0
Arda Turan (67., Rechtsschuss, Paco Alcacer)
Gelbe Karten
Barcelona:
-
Gladbach:
Dahoud
(2. Gelbe Karte)


Spieldaten

FC Barcelona   Bor. Mönchengladbach
Tore4:0Tore
 
Torschüsse13:1Torschüsse
 
gespielte Pässe993:372gespielte Pässe
 
angekommene Pässe905:296angekommene Pässe
 
Fehlpässe88:76Fehlpässe
 
Passquote91%:80%Passquote
 
Ballbesitz72%:28%Ballbesitz
 
Zweikampfquote43%:57%Zweikampfquote
 
Foul/Hand gespielt7:5Foul/Hand gespielt
 
Gefoult worden5:7Gefoult worden
 
Abseits1:3Abseits
 
Ecken5:2Ecken