sábado, 6 de maio de 2017

Le PSG peut encore rêver



Le PSG a provisoirement retrouvé Monaco en tête de la L1, ce samedi, en étrillant le SC Bastia au Parc des Princes dans le cadre de la 36e levée de championnat (5-0). Un lourd revers qui laisse les Corses cloués au dernier rang.
Jamais Bastia ne s’est imposé au Parc des Princes, c’est sans surprise que la série noire des Corses sur la capitale s’est prolongée ce samedi. Face à des Parisiens contraints au sans faute désormais dans ce championnat dominé par l’AS Monaco, le SCB n’a pas fait le poids, balayé 5-0 et ainsi maintenu dans la nasse, au plus profond du classement avec deux points de retard toujours sur la ligne de flottaison alors que deux matches seulement restent à leur crédit. Un écart qui pourrait bien s’agrandir durant le week-end…
Un temps contrariés par la baraka de Leca, les Parisiens ont trouvé la faille sur une action d’école conclue par Lucas (1-0, 32e). Cela juste avant le but polémique inscrit par Verratti – une frappe limpide déclenchée des 18 mètres alors que le portier adverse, gêné par un Draxler hors-jeu, était occupé à relever un Matuidi touché par un contact avec El Kaoutari dans la surface (2-0, 35e). Leca avait beau crier au scandale sur le coup, cherchant encore à s’expliquer avec l’arbitre sur le chemin des vestiaires, le mal pour Bastia était fait. Et rien ne devait s’arranger pour les Corses après le repos.
Car dans le deuxième acte, le PSG accentuait encore son emprise sur la rencontre, avant de dérouler dans le dernier quart d’heure sous l’impulsion notamment des entrants Guedes et Lo Celso. Cavani profitait d’abord d’une offrande du premier pour saler la note (3-0, 76e) – l’Uruguayen manquant dans la foulée un penalty généreusement accordé par M. Letexier et joliment écarté par Leca (80e). Puis Lo Celso, à peine entré en jeu, se fendait d’une pichenette quasi victorieuse, prolongée dans le but vide par Marquinhos (4-0, 82e). Restait pour Cavani à clore les débats, d’un plat du pied ajusté qui porte son total cette saison à 47 unités toutes compétitions confondues – 33 pour ce qui est du championnat (5-0, 89e). Voilà Paris ainsi revenu sur les talons de Monaco, qui dans la soirée se rend à Nancy et accuse toujours un match de retard à jouer face à Saint-Etienne. La marge de manoeuvre reste limitée mais au moins les Parisiens ont-ils fait en sorte ce samedi d’entretenir un semblant de suspense. 

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