quarta-feira, 7 de dezembro de 2016

OL – Séville : pour la légende



AVANT-MATCH. L’OL doit gagner par deux buts d’écart (ou plus) contre Séville pour voir les huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Un quitte ou double qui pourrait permettre d’écrire l’une des plus belles pages de l’histoire du club.

Enjeu. A-t-on vraiment besoin de vous préciser de nouveau l’enjeu de ce match ? L’OL doit battre Séville par au moins deux buts d’écart pour se qualifier en huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Tout autre résultat enverrait les Lyonnais en Ligue Europa. Pas une catastrophe en soi. Mais il serait tellement plus beau d’écrire une nouvelle page glorieuse de l’histoire de l’OL, mais aussi de l’histoire d’un stade tout récent qui n’a pas encore vécu de grands moments européens…

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Compo. Bruno Genesio commence à avoir un onze type en ce moment, mais trois interrogations subsistent.
Le groupe : Lopes, Gorgelin, Mocio – Rafael, Diakhaby, Morel, Nkoulou, Rybus, Yanga-Mbiwa – Darder, Ferri, Grenier, Gonalons, Tolisso, Tousart – Cornet, Fekir, Ghezzal, Lacazette, Valbuena
On guettera tout d’abord l’état d’Anthony Lopes, quatre jours après avoir subi une pluie de pétards messins. Si le Portugone n’est pas apte à jouer, son remplaçant Mathieu Gorgelin devra assurer l’intérim. Pas dans l’air du temps a priori : Lopes a participé au traditionnel entraînement dans le stade de veille de match européen.
Deux autres joueurs sont en balance, cette fois pour des raisons de profil. Jérémy Morel et Jordan Ferri semblent avoir les préférences de Bruno Genesio, respectivement en tant qu’arrière gauche et milieu relayeur. Mais le fait d’être obligés de marquer au moins deux fois pourrait conduire le technicien lyonnais à réfléchir à la possibilité d’aligner Maciej Rybus ou Sergi Darder, plus capables de faire la différence. À voir.
La composition probable : Lopes (ou Gorgelin) – Rafael, Yanga-Mbiwa, Diakhaby, Morel (ou Rybus) – Ferri (ou Darder), Gonalons, Tolisso – Ghezzal, Lacazette, Valbuena.
Le prono de la rédac. On est partagés entre notre pessimisme habituel et l’envie de croire au sens de l’Histoire, celui qui offrirait une qualification inespérée à un Parc OL qui n’attend que ça. On écrit donc juste le début de l’histoire : ouverture du score sévillane juste avant la mi-temps (42e), puis deux buts rapides d’Alexandre Lacazette et Corentin Tolisso au retour des vestiaires (48e et 54e). Et on vous laisse ensuite libres d’imaginer la suite, et l’ambiance, vous-mêmes.

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