Le PSG revient à trois longueurs du leader niçois après son net succès face à Rennes (4-0) dimanche soir.
Le match : Paris rassure son monde
Ils n'étaient pas forcément venus pour une démonstration en mode «Monaco du samedi soir». Les hommes d'Unai Emery voulaient simplement rassurer leur monde, et se rassurer eux-mêmes, d'ailleurs, ce qu'ils ont pleinement réussi en dominant tranquillement Rennes (4-0). Si Serge Aurier n'avait pas touché la transversale à deux reprises (66e, sur une frappe lointaine, puis 71e de la tête) et Thiago Motta le poteau (90e+2), l'analyse aurait alors pu être encore plus catégorique, à l'image du tableau d'affichage. Ce 4-0 là suffit cela dit amplement pour éteindre les doutes juste avant la trêve internationale, et pour reprendre trois points au classement à Nice, battu un peu plus tôt, pour la première fois de la saison, à Caen (0-1).
En face, Rennes n'a pas fait grand-chose pour empêcher le PSG de retrouver un peu de superbe. Gelson Fernandes, en première période (21e), a bien tenté de retarder l'échéance en repoussant sur sa ligne une tête puissante de Thiago Silva. C'était sans compter sur l'indolent Edinson Cavani, surgi de nulle part avec un quasi doublé (voir ci-dessous), avant de disparaître tout aussi subitement sur blessure. L'Uruguayen avait toutefois mis les siens sur des rails qu'ils n'ont plus quittés, notamment Adrien Rabiot, buteur pour sa 100e en Ligue 1 (67e), ou Marco Verratti (79e), bien servi par Hatem Ben Arfa entré dix minutes plus tôt. Il n'y a guère que Kevin Trapp, titulaire en raison du forfait d'Alphonse Areola, qui n'a pas pris part à la fête (zéro arrêt). Généralement en verve face au PSG de l'ère QSI (deux victoires à son actif), Rennes n'a rien proposé ce dimanche pour confirmer ce statut. Malheureusement pour lui, un certain Yoann Gourcuff n'avait pas non plus, dans les pieds, la magie qui l'habitait il y a six ans un soir de Parc des Princes, le maillot de Bordeaux sur le dos.
En face, Rennes n'a pas fait grand-chose pour empêcher le PSG de retrouver un peu de superbe. Gelson Fernandes, en première période (21e), a bien tenté de retarder l'échéance en repoussant sur sa ligne une tête puissante de Thiago Silva. C'était sans compter sur l'indolent Edinson Cavani, surgi de nulle part avec un quasi doublé (voir ci-dessous), avant de disparaître tout aussi subitement sur blessure. L'Uruguayen avait toutefois mis les siens sur des rails qu'ils n'ont plus quittés, notamment Adrien Rabiot, buteur pour sa 100e en Ligue 1 (67e), ou Marco Verratti (79e), bien servi par Hatem Ben Arfa entré dix minutes plus tôt. Il n'y a guère que Kevin Trapp, titulaire en raison du forfait d'Alphonse Areola, qui n'a pas pris part à la fête (zéro arrêt). Généralement en verve face au PSG de l'ère QSI (deux victoires à son actif), Rennes n'a rien proposé ce dimanche pour confirmer ce statut. Malheureusement pour lui, un certain Yoann Gourcuff n'avait pas non plus, dans les pieds, la magie qui l'habitait il y a six ans un soir de Parc des Princes, le maillot de Bordeaux sur le dos.
Le fait du match: la sortie d'Edinson Cavani
On ne l'a pas vu beaucoup, en première période, mais le peu qu'on a vu a suffi : en six petits ballons joués, Edinson Cavani a presque marqué deux buts. Un et demi, dira-t-on, car l'international uruguayen pèse pour 90%, de par sa spéciale de la tête au premier poteau, dans le contre-son-camp de Gelson Fernandes sur sa ligne (31e). Pas de discussion en revanche sur le second but parisien de la soirée, un lob parfait des 20m (42e). Sa sortie sur blessure peu après a donné l'occasion à Jesé de se mettre en valeur... Occasion que l'Espagnol n'a pas saisie, alternant frappes captées (zéro tir cadré sur deux tentés) et hors-jeu avéré. Il n'est pas encore prêt de peser aussi lourd dans les stats parisiennes que son rival au poste.
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