Dans la course au Ballon d'Or France Football, plusieurs Bleus se sont positionnés mais pourraient, comme avant eux les Espagnols ou les Allemands, s'autoconcurrencer de manière fatale.
Un titre de champion du monde, ça change forcément les choses. Si quelques joueurs français sont logiquement en droit de nourrir quelques ambitions pour la Ballon d'Or France Football cette année, le titre récemment remporté en Russie ne fait que renforcer leurs chances, même si être champion du monde ne suffit pas toujours à décrocher le graal quand on a été sacré avant tout grâce au collectif. Les Espagnols, en 2010, ou les Allemands, quatre ans plus tard, peuvent en témoigner. La chance des Français dans cette course au Ballon d'Or 2018 est aussi leur plus grand défaut : le succès à plusieurs.
La France n'est pas une "one man team", genre l'Argentine ou le Portugal. Aucun joueur n'incarne plus qu'un autre cette victoire en Coupe du monde. Il y a ceux qui, en 2018, ont gagné des trophées très prestigieux, comme Varane (C1) ou Griezmann (C3). Ceux dont le charisme, le talent et la personnalité éblouissent les papilles (Mbappé, Pogba). Et ceux dont la discrétion et l'efficacité sont les plus fidèles atouts (Kanté, Lloris).
La France n'est pas une "one man team", genre l'Argentine ou le Portugal. Aucun joueur n'incarne plus qu'un autre cette victoire en Coupe du monde. Il y a ceux qui, en 2018, ont gagné des trophées très prestigieux, comme Varane (C1) ou Griezmann (C3). Ceux dont le charisme, le talent et la personnalité éblouissent les papilles (Mbappé, Pogba). Et ceux dont la discrétion et l'efficacité sont les plus fidèles atouts (Kanté, Lloris).
Contrairement à 2010 et 2014, la FIFA n'est plus partenaire du Ballon d'Or.
Dans son édition actuellement en kiosque, FF décrypte les chances des Français qui postulent sérieusement cette année. Quelles sont leurs forces ? Les stats qui parlent pour eux ? A quelles anciennes légendes ressemblent-ils le plus ? FF répond à tout, avec l'avis très précieux d'Alain Giresse, deuxième du Ballon d'Or 1982. Et n'oublie pas de souligner que, contrairement à 2010 et 2014, la FIFA n'est plus partenaire du prestigieux trophée. Les 192 membres du jury FF n'ont pas la même culture, les mêmes valeurs, les mêmes repères. Ils sont en revanche les seuls à décider. A eux de jouer...
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